Connaissez-vous Facebook? Un vrai phénomène...dur dur à expliquer clairement. Pour vous donner une idée c'est un réseau de réseaux; un intermédiaire entre MSN messenger, un blog et une boîte email. C'est un espace virtuel où les amis de tes amis sont tes amis. Vous n'avez rien compris, nous voilà bien.
Ici, chez les canadiens du Canada, ça fait fureur. Ici mais pas que. Car à la vitesse où ça se propage, Facebook ne va pas tarder à envahir cocorico country et tous ses voisins...si ce n'est pas déjà presque fait. Et je prédis - facile facile - que des profils Facebook vont fleurir un peu partout d'ici peu. Tous les accros ou moins accros de MSN et autres je-ne-sais-quoi où tu mets des photos, racontes ta life, écris aux uns et aux autres...ne vont pas se faire prier. Même la plupart des résistants potentiels vont céder sous la pression et la menace. Rien que ça.
Les étudiants canadiens en ont tous un. Tout a commencé au sein d'une Université, afin de créer un réseau à grande échelle. Puis, propagation oblige, c'est en train de se diffuser un peu partout. Rien de transcendant néanmoins, c'est juste un lien virtuel comme un autre grâce auquel tu communiques avec des gens proches ou que tu situes à peine, voire pas. Mais pour les amateurs du virtuel OU/ET qui aiment passer des heures devant leur ordi à papoter OU/ET qui veulent s'assurer qu'ils ont plein d'amis, c'est idéal. Je crache un peu dans la soupe car, comme pour beaucoup de choses, on se laisse vite prendre au jeu.
Plus ça va, plus je me dis que l'heure est grave. Communiquer avec les uns les autres, monter le son, étudier, rédiger, lire les news, démarcher, blogguer... Rendons-nous à l'évidence, ici que ne ferais-je pas sans mon ordi? Le bougre il me rend accro. Quoique accro ce n'est pas le mot, mais dépendante oui. Et ça c'est insupportable. Etre dépendant de quoique ce soit c'est vexant, c'est énervant, c'est fatigant.
Lorsque ton bus n'arrive pas. Pas content pas content.
Lorsque le téléphone portable s'éteint en pleine conversation. Pas content pas content.
Et lorsque l'ordi beugue ou que la connexion est capricieuse. Pas content DU TOUT.
Heureusement qu'il est encore possible de survivre sans cette machine infernale, mais je vois à mon petit niveau que c'est tellement (trop?) pratique. Tout comme le robot de ta grand-mère, Monsieur est multifonction. Mais mieux que le robot de ta grand-mère, Monsieur fait tout en même temps! C'est ti pas vermeilleux tout ça?
Voilà. La vie est belle, les ordis chantent. Mais kikitrépigne de rage lorsque toute une page fraichement terminée d'un essai ultra-biiiiiip disparait sans un au-revoir? Kiki pourrait piquer une crise de nerfs à 3h du matin? C'est bibi.
Avec tout ça, je prône la cure de désintox. Opération dé-fusion. Le sevrage du retour ne fera pas de mal. Et mes yeux me remercieront.
Ici, chez les canadiens du Canada, ça fait fureur. Ici mais pas que. Car à la vitesse où ça se propage, Facebook ne va pas tarder à envahir cocorico country et tous ses voisins...si ce n'est pas déjà presque fait. Et je prédis - facile facile - que des profils Facebook vont fleurir un peu partout d'ici peu. Tous les accros ou moins accros de MSN et autres je-ne-sais-quoi où tu mets des photos, racontes ta life, écris aux uns et aux autres...ne vont pas se faire prier. Même la plupart des résistants potentiels vont céder sous la pression et la menace. Rien que ça.
Les étudiants canadiens en ont tous un. Tout a commencé au sein d'une Université, afin de créer un réseau à grande échelle. Puis, propagation oblige, c'est en train de se diffuser un peu partout. Rien de transcendant néanmoins, c'est juste un lien virtuel comme un autre grâce auquel tu communiques avec des gens proches ou que tu situes à peine, voire pas. Mais pour les amateurs du virtuel OU/ET qui aiment passer des heures devant leur ordi à papoter OU/ET qui veulent s'assurer qu'ils ont plein d'amis, c'est idéal. Je crache un peu dans la soupe car, comme pour beaucoup de choses, on se laisse vite prendre au jeu.
Plus ça va, plus je me dis que l'heure est grave. Communiquer avec les uns les autres, monter le son, étudier, rédiger, lire les news, démarcher, blogguer... Rendons-nous à l'évidence, ici que ne ferais-je pas sans mon ordi? Le bougre il me rend accro. Quoique accro ce n'est pas le mot, mais dépendante oui. Et ça c'est insupportable. Etre dépendant de quoique ce soit c'est vexant, c'est énervant, c'est fatigant.
Lorsque ton bus n'arrive pas. Pas content pas content.
Lorsque le téléphone portable s'éteint en pleine conversation. Pas content pas content.
Et lorsque l'ordi beugue ou que la connexion est capricieuse. Pas content DU TOUT.
Heureusement qu'il est encore possible de survivre sans cette machine infernale, mais je vois à mon petit niveau que c'est tellement (trop?) pratique. Tout comme le robot de ta grand-mère, Monsieur est multifonction. Mais mieux que le robot de ta grand-mère, Monsieur fait tout en même temps! C'est ti pas vermeilleux tout ça?
Voilà. La vie est belle, les ordis chantent. Mais kikitrépigne de rage lorsque toute une page fraichement terminée d'un essai ultra-biiiiiip disparait sans un au-revoir? Kiki pourrait piquer une crise de nerfs à 3h du matin? C'est bibi.
Avec tout ça, je prône la cure de désintox. Opération dé-fusion. Le sevrage du retour ne fera pas de mal. Et mes yeux me remercieront.
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