29/06/2007

Ciao Florida


En Miami se habla más español que inglés. Il n'y a qu'à compter le nombre de restaurants ou de commerces tenus par des péruviens, argentins, espagnols. Il n'y a qu'à tendre l'oreille dans le bus ou à la plage ou encore observer ces serveurs parler entre eux ...pour se rendre compte que les hispanophones sont partout!

Au cours de la semaine que nous avons passé à Miami Beach, nous avons fui la pluie pendant 2 jours direction Key West. Il s'agit de la dernière île de l'archipel des Keys, la plus grande aussi.
Nous avons donc embarqué le jeudi dans un mini-bus apparemment sans amortisseurs (mieux qu'une jeep dans le désert du Sahara!). Je te le donne en mille, notre chauffeur de bus (quinquagénaire, tignasse dé-colorée/re-colorée dans un blond jaune paille, accent à couper au couteau), guide à ses heures était...colombien! Après une véritable épopée de 6h après une halte au Burger King pour les amateurs de frites au ptit déj (tu voulais du folklore?), nous avons été déposées dans ce petit coin de paradis entre palmiers, lagons et maisons victoriennes. La Floride est remontée dans notre estime!! ...mais tant qu'à voir des paysages de cartes postales, d'autres destinations sont sûrement bien plus idylliques.

Ces quelques jours à Miami et dans ses alentours étaientt vraiment sympa...mais pas suffisamment pour vouloir y revenir. A moins d'avoir quelques centaines de dollars à dépenser tous les soirs en clubs et autres soirées bling bling. L'intérêt du lieu est certainement sa vie nocturne. Les minettes qui arboraient les micro-jupes, les talons aiguilles et les paillettes, les kékés sortaient pantalons blancs, chemise ouverte, col relevé et cheveux dressés sur la tête semblaient particulièrement apprécier Miami Beach, ses bars et ses belles voitures.

A choisir, nous avons préféré les grandes villes du Nord-Est à la Floride.

Il est temps à présent de commencer la remontée vers le Canada.


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