03/06/2007

Boston : EH pas mal du tout !


Fidèles adeptes de la simplicité que nous sommes, nous avons su nous débrouiller pour partir l'une après l'autre. C'était de ma faute, j'avoue. Mais pas de regrets car cela aurait été dommage de ne pas voir Montréal sous la pluie.

Eine est venue me rejoindre dans cette sympathique ville québécoise pour entamer ce petit périple d'un mois.



La frontière fut passée sans difficultés (on applaudit) et Boston nous a accueillies à bras ouverts, ce qui n'a pas allégé nos sacs pour autant.

Pour ma part j'avais brieffé tout le monde: les épaules et le dos tout d'abord. Réponse immédiate : "no problem on assure, la douleur nous on connaît pas". Les fessiers aussi. On n'y pense pas mais à être mal assise pendant des heures dans un bus, ils auront bien souffert. Au tout début ça chantait à tue-tête "t'inquiètes, on gère la fougère". En fin de séjour, je ne les entendais plus. Les pieds, par contre, ont beaucoup râlé. "Pas content, pas content". J'ai des pieds syndiqués mais après négociation, ils ont choisi de m'accompagner jusqu'au bout. Bref. Finalement, chacun s'en sera plutôt bien sorti même si pouvoir enfin se débarrasser de ces 12 kilos et sommeiller en position horizontale n'était pas de refus.




Je ne pensais pas que Boston était une ville aussi agréable. Le centre est assez classique avec de nombreux gratte-ciel et quelques espaces verts bien entretenus.























Mais on y retrouve cet esprit de "petit village" qui caractérise également certains quartiers de New York.



































Indigestion de drapeaux.
"Quand y en a plus, y en a encore".










Nous avons beaucoup trotté.












Et le hasard nous a mené au charmant quartier de Beacon Hill.













Ses maisons historiques et ses rues pavées lui confèrent un petit air rétro-rococo.



















Il semble qu'il y ait pas mal de quartiers chics. Mais sans cette image un peu guidée que renvoie la ville de Washington par exemple.










C'est en nous baladant sur le port que nous avons pu programmer les baleines du lendemain matin.







Tu as bien lu. Des baleines, des vraies. Je remarque ton enthousisame, tu n'imagines même pas le mien. Des baleines à Boston! Insolite n'est-ce pas? Je me voyais déjà faire la sirène à leurs côtés, mais les filles n'ont pas voulu de moi. Elles m'ont tout bonnement snobé, s'en donnant à coeur joie.







Et vas-y que je fasse ma belle en tournant sur moi-même, et vas-y que je te montre mon aileron et que je plonge avec mon baleineau. Les bougres.

















Il y avait peut être un peu de vent.


Suite à cette sortie, nous avons regagné la terre ferme pour nous rendre à Harvard.
Détrompes-toi, Harvard n'est pas une Université: c'est une ville.






La cathédrale est immense,









le campus est un parc,













la bibliothèque est disproportionnée.












On a pu toucher le pied de John (Harvard). Parait que ça rend intelligent. No comment please.












Enfin, nous nous la sommes coulée douce le long de la Charles River.

























This is une des maisons de Georges Washington.




















Au détour d'une vieille librairie, Eine a trouvé un ouvrage de circonstance.

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